Je vois tes yeux dans l'univers,
La clé de tes cieux, mon éphémère,
L'ultime repos que tant j'espère,
Je vois tes yeux dans l'univers.
Et mon crayon ne s'arrête d'écrire,
Des délices, des traits de mère
Qui hantent ces jours, qui respirent
qui, de plus en plus les serres.
Cette si douce brutalité
Ne cesse de me parcourir,
Comme un hiver en plein été,
comme une larme sur un sourire.
Je vois des couleurs qui n'existaient,
Celles de ton âme plaignante
Je sens ces parfums que tu portais,
dont les roses devenaient amantes.
Et aujourd'hui! Et aujourd'hui!
Cette si raisonnable folie
Me transporte vers un monde qui crève,
Ou mes vers traduisent mon âme qui rêve.
.
Lo
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Écrit par lo
\" Le poète est un grand mytho qui s\'invente des thèmes pour sourire, pour énerver, pour qu\'on lui dise je t\'aime \" Grand Corps Malade
Catégorie : Amour
Publié le 28/03/2010
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Commentaires
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Posté le 28/03/2010 à 18:43:35
sublimepoème , chère amie très audessus du tout venant,,et bien digne de ton grand talent de poètesse merci de ce précieux et rayonnant cadeau je t'embrasse | |
flipote |
Posté le 28/03/2010 à 18:46:05
La folie si elle n'est pas raisonnable peut rendre heureux et faire rêver. Merci de ce beau moment. | |
sphinxangel |
Posté le 28/03/2010 à 20:01:20
Délicieusement fait. | |
eric |
Posté le 28/03/2010 à 20:53:03
Le dernier vers s'offre comme une clé de lecture. Rétrospectivement le poème révèle l'action de cette âme qui rêve dans une "traduction" que tu mènes à la perfection. Merci pour tes mots. |
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Harmonie |