Et puisque l'on maîtrise rien
Pourquoi toujours penser à demain.
Nous croyons tenir entre nos mains le monde
Et ils nous glisses de celles-ci en quelques secondes.
Et puisque dans cet immense univers
Nous ne sommes que des particules de poussière
Et puisque cette pensée n'est qu'un éclair
Qu'elle ira rejoindre les autres dans l'idéosphère
Puisqu'elle est déjà perdue, errant ici et là sur cette terre
Puisque je sais que demain sera comme hier
Alors j'abandonne mon être à l'éphémère.
Je m'abandonne à mon délire poétique
à ma mélancolie constante et mes rires cycliques.
Sur la corde du passé au futur
Ma paresse, de reine à des allures..
*
écrit sur
Une chanson au piano
*
Écrit par lo
\" Le poète est un grand mytho qui s\'invente des thèmes pour sourire, pour énerver, pour qu\'on lui dise je t\'aime \" Grand Corps Malade
Catégorie : Divers
Publié le 10/12/2008
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Commentaires
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Posté le 10/12/2008 à 21:18:31
J'aime beaucoup tes écrits Lo, ils me parlent, tu as les mots justes pour parler de la souffrance, et il faut bien la connaitre pour en ajuster les mots. | |
Véro56 |
Posté le 10/12/2008 à 22:19:01
merci Lo tes mots sont forts en réalisme...bise | |
audoune |