Les enfants de la lumière dans leur bulle de verre
La maladie a frappé cruellement son cœur désert
Dans ses murs condamnés par ce terrible fléau
Le voleur de son âme au lointain du soleil chaud
Malgré la souffrance qui les détruit à petits feux
Ils posent un sourire qui sommeille sur les rêves bleus
Et gardent espoir sur les sombres creux de leurs yeux
Sur des demains arc-en-ciel aux mille couleurs cieux
Qui se dégagent de leur visage affaibli par les peines
Des larmes de tristesse se cachent sous leur rire étincelle
Pour ne pas montrer leur nostalgie à ceux qu'ils aiment
Ils dissimulent la douleur tout en montrant leur âme zen
La lumière du jour s'éteint à jamais sur ces petits amours
Et d'autres ont gagné le combat de cette traversée de blues
Et en laissant à la famille cet injuste silence, sans mot
De ceux qu'ils quittent le cœur solitaire gravé de sanglots
Écrit par louveblanche
L'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas.
Catégorie : Divers
Publié le 25/07/2013
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louveblanche, quelle que soit la maladie lorsqu'elle touche un enfant, cela nous désarme complètement, et pour lui le chemin de la souffrance est parfois un long calvaire, qui nous bouleverse et submerge, cela nous semble être une profonde injustice de la vie. | |
Octavie |
Je suis très touchée par ton poème. Chaque parent prie pour que son enfant ne soit pas confronté à la maladie grave. C'est terrible, ces pauvres petits mioches. Ton poème est magnifique ! | |
Marouette |
le thème "mioches" pour ma part me semble bien cruel. | |
louveblanche |
Superbement triste.. Très très beau |
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passeur de mots |