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Une sirène retenti en nous,
L'horreur d'un monde désabusé,
Qui recrache la fumée
D'une terre calcinée.
Le cerveau dans un étau magnétique;
S'en échappe un liquide de dégoût
Qui se répand, s'agrippe
Aux cellules de l'univers,
Qui se désagrège à l'allure d'une cigarette.
La faucheuse sacrifie tout sur son passage
N'épargnant rien,
Elle poursuit un chemin; amère et sordide.
Écrit par lucieM
les fenêtres du monde sont braquées vers un univers perdu
Catégorie : Divers
Publié le 18/04/2015
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Commentaires
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Posté le 19/04/2015 à 07:19:12
Triste et mélancolique. J'aime mieux voir les bons cotés de la vie surtout au printemps ou tout renait. | |
TANGO |