Ici ce soir, je ne sais si je dois
Conter ma colère ou mon désarroi
Face à cet être que j'exècre
Qui représente la moitié de mon être
L'argent pour moi ne signifie rien
Mais voler jusqu'à ceux que tu nommes amis
Dépasse tout ce que j'ai déjà admis,
N'as-tu aucune idée de ce qu'est le bien ?
Pour qui sait écouter et voir,
Se savait que tu n'étais pas seul le soir,
Mais nous en aurais-tu un jour parlé
Si ma soeur n'avait pas débarqué
Trop tôt en ton fief symbolique ?
Agissant comme un père angélique
Toi qui n'a jamais pu nous aimer
Une deuxième famille nous a imposé.
Pourtant ce n'est qu'une façade,
Qui cède devant mon regard
Je sais ce que cache cette mascarade
Mais pour notre pardon il est trop tard.
Écrit par lyariana
Il n\'existe que deux choses infinies, l\'univers et la bêtise humaine... mais pour l\'univers, je n\'ai pas de certitude absolue.Albert Einstein
Catégorie : Divers
Publié le 22/02/2015
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de lyariana au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 23/02/2015 à 15:01:01
Émouvante et touchante histoire ... Amitiés |
|
Yuba |
Posté le 23/02/2015 à 17:24:02
Une sentence très tranchée pour un père qui ne réunissait pas toutes les qualités attendues | |
TANGO |
Posté le 24/02/2015 à 07:15:01
Le pardon aurait pu être acceptable s'il n'y avait eu que ces éléments. Ceux-là ne sont malheureusement que les derniers produits d'une longue liste. | |
lyariana |