J'ai enfilé des bas beiges
Pour toi quel doux privilège
De glisser sous le jupon
De perdre toute raison
En ces secrètes dentelles
D'y raviver l'étincelle...
Mais voilà que sous la jupe
Ton esprit en est-il dupe
L'infime tissu fantasmé
Est semble-t-il oublié
Et absent l'humble rempart
Le dernier bastion qui part
Et stratégie féminine
Qui tout sang froid annihile
Arme intime de la femelle
De la femme universelle
Au final que nos culottes
Hommes par vos sens vous menottent
Que les trêves de lingerie
Font que même les athées prient...
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Commentaires
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Posté le 21/03/2012 à 18:38:52
Quelle sensualité et ode à un objet aussi précieux car son absence comme sa présence sont de grands sujets d'excitations pour vos esclaves mesdames et mesdemoiselles | |
PATGUI |
Posté le 22/03/2012 à 06:46:49
J'ai à plusieurs occasions disserté sur les petites culottes mais quand elles sont absentes y'a plus qu'à. J'ai aimé ton poème sans vulgarité mais as-tu un grand mérite toi qui connais toutes les ficelles. | |
TANGO |
Posté le 12/04/2012 à 22:53:02
bien joué 'maline' ! un texte polisson mais tout doux et une excellente finale, que demander de plus al |
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spock27 |