Puisque tu dois partir, amie sur ton île,
Je ne puis que sourire à ces années passées
A doucement bâtir ce présent insensé :
Je sais maintenant lire en ton cœur si fragile.
Je regrette déjà tes colères graciles,
Tes mains caressantes et toujours empressées
A donner le meilleur, sans jamais s'offenser,
J'imagine, songeur, tes futures idylles.
Mon amitié rechigne à te laisser partir,
Ma tendresse sait bien qu'elle ne pourra mourir,
Elle est suspendue à mon cœur, douce créole.
Puissent ces vers flotter jusqu'aux lointains rivages
Rassasiés de soleil , caresser ton visage,
Puis danser en ton cœur exquise farandole.
Écrit par manolo
si tu ne sais pas quelque chose, apprends-le à quelqu'un
Catégorie : Amitié
Publié le 21/05/2009
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Commentaires
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Posté le 21/05/2009 à 18:15:53
Trés beau poème si bien écrit et si bien structuré. A bientôt. |
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singe vert |
Posté le 22/05/2009 à 16:47:12
N'était-ce pas une amitié? ou un Amour... Car il m'a semblé que c'était un poème d'amoureux |
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