En me levant ce matin, comme tous ceux passés depuis le début de la galère qu'on appelle la vie.
Une fois de plus je n'ai pas souri, l'esprit embué mais toujours l'âme salie.
Et là, j'ai revu ces larmes séchées, ces joies passées,
J'ai reconnu l'amour, la tristesse et la peine,
La force que l'on a pour la violence mais la faiblesse de ne pas assez dire qu'on aime.
La fierté du lion pour éclairer comme des néons la nuit longue de la tragédie humaine,
qui perpétue sa bêtise et n'avance pas dans le futur à force de vivre dans le passé.
J'ai reconnu ma famille, mes amies, ma chérie, tout ceux qui dans mon monde m'ont compris.
Moi ce petit gars perdu, juste en manque d'affection à force de faire croire qu'il est dur comme le
Roc il donne l'image d'un coq, seul dans sa basse-cour, qui court et qui court ne sait dire que des
Discours qu'il aura volés à d'autres coqs aux alentours.
Et là j'ai aperçu le noir, j'étais juste devant mon miroir.