Triste mélodie,
Que celle de mon cœur meurtri,
Douce mélancolie
Dont mon âme grise est remplie.
Note solitaire errante
Sur une page vierge charmante,
Flottant entre l'air et l'eau
Emergeant d'un sombre piano.
Blanc et noir :
Touches lisses et dures,
Insensible, dans un fermoir :
Un cœur plein de blessures.
Plus d'émotions
Quelque soit le son
Un prélude enjoué
Ou une sonate éplorée.
Fatigue et lassitude
Une vie pleine d'amertume,
Elle se couche sur son piano
Ne jouera plus jamais de solo…
Écrit par morgi
Ton refus de la vie qui nous lia par dépit.
* http://nere-historioa.skyblog.com Catégorie : Triste
Publié le 03/06/2007
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