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Au milieu de la nuit
Cauchemars incontrôlables,
La lune seule dans le ciel
Rejoint ma solitude.
A s'observer mutuellement,
On se connaît, on se comprend,
Des paroles silencieuses,
Sous l'éclairage de quelques veilleuses.
La seule lumière dans cette noirceur
Qui comme un étaux resserre mon cœur,
Deux sœurs jumelles opposées,
L'une blanche l'autre sombre, apeurée.
Dans la nuit étoilée,
La lune présente dans mes pensées,
Me permet d'oublier
Les raisons qui me font pleurer.
Cette auréole dans le ciel,
Me parait comme du miel,
Une douceur sur mes blessures
Qui se ferment au fur et à mesure.
Les nuages couvrent l'immensité,
Du ciel illimité,
Mais ils ne me font pas peur,
Je sais que reviendra la douceur,
De la lune sur ma peau,
De cet instant si beau,
Où tes yeux atteignent mon cœur,
Qui depuis ta mort se meurt.
Elle veille sur moi,
Comme quand tu étais là,
Je l'appelle dans la nuit,
Pour te parler à l'infini…
Écrit par morgi
Ton refus de la vie qui nous lia par dépit.
* http://nere-historioa.skyblog.com Catégorie : Triste
Publié le 16/12/2007
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