Je sors du cloaque étouffant,
M'offrant à la pluie,
Les gouttes qui frappent mon visage endolori,
Semblent arrêter le temps,
Je lève la tête,
Et rit,
Plus rien ne peut atteindre ma vie,
Même pas ce chagrin,
Que je refoule sans peine,
Plus rien n'atteindra ma vie,
Car c'est maintenant qu'elle se finit,
Je m'avance sur la route,
Que les phares d'une voiture éclaires,
Blanc,
Eclair.
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Commentaires
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Posté le 26/04/2010 à 06:50:09
wouahhh dur ce poème...Est ce la solution ? Amitiés Louann |
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louann |
Posté le 26/04/2010 à 14:46:00
bonjour noirdesir, la peine semble bien lourde à très bientôt |
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marie-ange-old |