Des tensions provisoires
Dans l'éternelle seconde
Silence orageux
Danse aimant habiter le corps
Glissant le long d'une convulsion
Densément suivre le corps, accord
Détention électrique
Dans l'atmosphère
Des coups, verres en suspend
Trinquant d'essence
L'incandescence qu'un iris réverbère
L'heurt disparait
La fièvre conduit là où l'or loge
Devient poussière
A cran, à crocs
Être ange, vain cœur
Tout se résume
A une peau cédée
Qu'on plisse
Mai 2018
Écrit par poesiedesrues
Tâche toujours de voir plus loin
Toute âme, à sa manière, est belle Et l'artiste n'est qu'un humain Qui a levé les yeux au ciel Catégorie : Amour
Publié le 03/04/2019
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Commentaires
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Posté le 03/04/2019 à 12:13:58
Merveilleux ! J'ai bien senti le temps s'arrêter Pendant la danse des corps... Bravo poétesse ! |
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Yuba |
Posté le 03/04/2019 à 16:49:16
Les jeux des mots me réjouissent, surtout placés sous l'égide de l'amour. Ambiance électrique pour le meilleur ! Bravo et merci. | |
jacou |
Posté le 07/04/2019 à 21:30:13
Merci à vous, heureuse qu'il vous plaise ! | |
poesiedesrues |