Y a t-il plus réconfortant pour l'âme en peine,
De se promener en un joli jour de frais printemps,
Au milieu d'un arc en ciel de fleurs reines,
Qui egayent les sens et ralentissent le temps.

Me balladant au hasard de mes recherches artistiques,
J'y decouvris un merveilleux champs de fleurs,
Qui s'il était virtuel, en a conservé la chaleur,
La lumière, l'onde et la douceur d'une beauté mystique.

Mais cela n'était rien face à sa créatrice,
Qui de la fleur a gardé les mille couleurs,
Sublimant les parfums aux différents épices,
Les attenuant néanmoins par sa profonde douceur.

Cette femme là ignore tout de sa valeur,
J'aimerais la connaître, percer les secrets de son coeur,
Lui montrer en regardant de près au milieu de la fleur,
Que se cache une ravissante ondine prête à connaître le bonheur...