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Prenant mon envol au dessus des falaises abruptes et escarpées,
Je survolais les mers, les lacs rivières et océans,
Fils de Neptune, empereur et roi des étendues salées,
Avec les ailes blanches scintillantes et puissantes du fragile goéland !
Puis sur les étendues brûlées de la langoureuse Afrique,
J'ai couru pour visiter les steppes, toute crinière au vent,
Moi le fauve, le félin, le carnassier puissant,
Rien ne m'arrête, je continue ce voyage épique !
Sur les banquises glacées et épaisses du bout du monde,
Je contemple le néant et j'écoute le silence,
Aura-t-il une fin ce paradis blanc aux dimensions immenses,
Ou tels des rasoirs la neige coupe, meurtrit et gronde !
La terre est mon terrain de jeu, je la traverse sans cesse,
Me reconnaîtra tu sous mes formes si diverses,
Je défie les ouragans et me rit de toutes les averses,
Seule l'immonde solitude me détruit, m'affaiblit et me traverse !
Écrit par poetic69
Ecrire, créer des émotions, inventer des mondes, vous inviter au voyage et ravir vos sens...
Catégorie : Triste
Publié le 08/09/2007
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Vraiment un très beau poème. | |
Michka |