Une pièce jetée sur un sol humide, un dernier coup au destin, de poker peut-être, une main tendue sûrement. Ainsi voguerons-nous donc seul sur notre barque, dans l'attente d'une nouvelle pièce, dans l'espoir de l'élysion pour certain, et dans les regrets des péchés pour d'autre. Ramons donc sur l'océan de ceux qui ne purent payer et soyons fiers, car au bout du tribunal nous attend la salvation, l'espoir infime des Champs Elysées.
 |
Écrit par ravenerebe
Le temps a horreur des paradoxes
Catégorie : Divers
Publié le 01/11/2013
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Divers à découvrir... | Poèmes de ravenerebe au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 05/11/2013 à 16:51:37
 |
Texte dont la compréhension m'est incaccessible. |
Octavie  |
Posté le 08/11/2013 à 17:35:27
|
Bah en fait si je te dit mon raisonnement tu vas rire ^^, j'ai tenté un truc, un coup de poker monumentale, et quand je suis rentré chez moi, ben j'ai pensé à une pièce jetée, pile ou face, ou peut-être la tranche histoire de compliquer les choses ^^. Du coup, pièce, J'ai penser a Charon, celui qui prend une pièce au mort (rapport avec le fait que c'est une tentative en rapport avec une pierre tombale sans fleur ...) pour les emmener sur le lac vers le tribunal et si t'as pas de pièce, il t'emmène pas. donc voila un raisonnement tout con ^^ |
ravenerebe  |