C'est un petit truc simple que j'aime vraiment beaucoup
Une petite chose au-dessus de ton cou
Située entre ton nez, ton menton, tes joues
Oui c'est pour ton sourire que j'use de mots si doux

Cette merveille du monde portée avec grâce
Fait que du lundi soir jamais je ne me lasse
Et j'attends tout le temps que le temps vite, passe
Et puis qu'à ton visage à nouveau je fasse face.

Je tente de graver, au loin dans ma mémoire
Ces instants importants où tu es pleine de gloire
Mais je n'y arrive pas « ô Rage ! ô désespoir ! »
Et ils restent attachés à ces seuls lundis soirs

Mais l'attente toujours est très bien justifiée
Et chaque fois de ton sourire je suis enchanté
Et mon cœur de ceci se voit bien réchauffé
Voudrait par ce poème au mieux te gratifier

Mais les mots et les gestes trop souvent nous trahissent
Jamais quand on le veut ils ne nous obéissent
J'ai peur que maintenant trop de preuves se hissent
Que tu crois que je t'aime même si ce n'est pas un vice

Je ne veux te mentir, et dire que je ne t'aime point
Car je pense que souvent je pense trop à toi
Et que je crois comme toi que c'est vraiment le cas
Oui car tu es jolie ! Sympathique ! Mais voilà

Je ne veux point t'aimer d'amour pour l'instant
Et je voudrais rester à ce stade d'amitié
Pour pouvoir librement continuer d'observer
Et puis parfois t'aimer mais toujours en secret.

Mais si jamais tu veux aller vers autre chose
Écris-moi un poème ou bien une petite prose