Les gens se meuvent autour de nous « ombres furtives ».
Leurs états d'âmes aux couleurs douteuses, m'obsèdent.
Nos sentiments, soudés comme la croix « façon prohibitive »
Nous éclate en deux ; nous éloignant de ce paradis qui cède.
Le temps glisse entre nous deux et un hiver éternel s'installe
Refroidissant les ardeurs qui avaient enchaîné nos émois.
Tu existes dans la moindre parcelle de mes envies amorales
Quand la nuit, des trains fantômes m'emportent vers toi.
Toi tu m'oublies et ne m'oublies pas : curieux ressentiment !
Moi je t'oublie et ne t'oublie pas : un supplice suprême !
Le temps glisse entre nous deux pour nous unir : quand ?
Mes cris silencieux ne sont fabriqués que par des « je t'aime ».
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Commentaires
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Posté le 14/04/2012 à 16:53:59
jolie poésie | |
PATGUI |