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Toi, la grande faucheuse,
Soeur de la roue du temps impérieuse,
Je n'ai peur ni de ta visite
Ni de ta venue à l'improviste.
Je n'ai plus peur de quitter
Mes êtres chers, chair de ma chair.
Tu m'as tant effrayé,
Tu m'as tant fait souffrir.
J'ai rêvé de toi de mille façons
La pire façon qui soit,
La meilleure façon qui soit,
Jour noir où je t'aurai accueilli.
Tu ne viendras pas à l'heure étrange,
Tu ne viendras pas un jour heureux,
Ame d' un jour sombre,
Jour noir où je t'aurai accueilli.
Ce jour là tu ne me prendras
Aucun de mes proches
Pas même un de mes ennemis,
Jour noir où je t'aurai accueilli.
On dit que c'est notre destin
Je l'accepterai quand j'aurai compris
Par quel commandement divin
Les vivants n'ont pas droit au paradis.
Il est temps, à la fin de ma vie consumée
Que je t'accueille sans haine
Que mon corps ne peut plus t'accorder
Car je suis devenu vieux et sénile.
26 Novembre 2007
Écrit par the boss
Un petit pas vers l'humilité, un grand pas pour l'humanité.
Catégorie : Triste
Publié le 26/11/2007
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Par quel commendement divin, les vivants n'ont pas droit au paradis?..Très bien dit et très profond... | |
SALIM8617 |
"Les voix de Dieu sont impénétrables ..." mais que c'est agaçant!! J'ai bien aimé ce poème, | |
Couette |
Très beau poème... | |
pichounne |
Très beau poème ! | |
Alexandre-glaucos |
Merci à tous! Vos commentaires de qualité sont une belle récompense. | |
the boss |
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