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Sur cette terre dans la voiture,
je m'abandonne à mes pensées,
grain d'univers, soleil d'hiver.
J'ère dans la ville à mon répit,
l'eau de mon sang, coulant pour toi,
Navire de toi, navire de sois,
Dans une jungle éclaire toi.
Et ci le ciel n'existait pas,
alors l'orage viendrai je crois,
mené par toi, mené par toi.
Dans cette ville dans la voiture,
je pense à toi, juste milles fois,
j'avais pleuré hier encore.
Les arbres se nouent tous debout là,
Attenants ton passage enfin,
comme pour tombés de rages pour toi,
tu me la dit je m'en souviens.
Et ci le ciel n'existait pas,
alors l'orage viendrai je crois,
mené par toi, mené par toi.
C'était le temps ou toi et moi,
ou nous dormions à deux serrés,
mais tu ne voulais pas je crois.
Le ciel était orange, crois-moi
comme aujourd'hui je l'aperçois,
et comme hier, les chevaux sont là.
Et ci le ciel n'existait pas,
alors l'orage viendrai je crois,
mené par toi, mené par toi.
"Mené par toi, et dans tes bras,
je m'en souviens, tu étais là"
Écrit par une-nuit-avec-moi
une-nuit-avec-moi ... :-)
Catégorie : Amour
Publié le 04/05/2008
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Magnifique, tu écris très bien et de façon très originale. | |
calsior |