Hasard d'une vaguelette, le soleil rouge quand rumine le foin des écumes après galop un zèbre de nuages.
Aux arts de cet automne, feuille tombée au contrat du ruisseau.
Canopée d'une république d'insectes.
Le vent s'avise des chagrins des pleurôtes.
De la tanière incendiée des fées de la nature.
Il y a comme une rupture des liaisons de carbone.
Je suis là posé, l'oeil gratté des lests de transports des pollens, la fleur mangée du foie, le bas du corps posé assis sur une mousse, au désert rassis des pelouses.
Là seul.
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Écrit par veilleurdenuit
advienne que voudra!
Catégorie : Divers
Publié le 23/10/2017
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Commentaires
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Posté le 23/10/2017 à 22:00:22
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Dans mes favoris Je ne saurais même pas l'expliquer, j'aime cet enchainement de pensées, cet esprit poète souffrant de solitude |
Zigzag  |
Posté le 23/10/2017 à 22:26:43
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Votre poème n'est pas seul au monde, il est ici sur Icetea. Il est lu par tous les auteurs du monde, longue vie à celui-là. J'aime. |
suane  |
Posté le 23/10/2017 à 22:45:02
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Le troisième vers ou verset est mémorable. Très bien. |
jacou  |
Posté le 24/10/2017 à 07:06:52
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Très joli, merci pour cette belle lecture +++ |
| lefebvre |
Posté le 24/10/2017 à 08:22:39
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A te lire j'en oubli ....tout le reste je suis assise là aussi Et un sentiment de lourdeur sur le coeur Me fait fermer les yeux... |
| MARIE L. |
Posté le 24/10/2017 à 09:42:29
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Merci à tous |
| veilleurdenuit |
Commentaires
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