Il y a une corde usée qui grince les décors
Où sont peints les horizons de mes errances.
Une lumière comme une transparence
Sur le bois boiteux d'un brigadier d'alors.
Y a une rumeur qui monte et se répète
Un souffle chargé de mots et un souffleur.
Il y a des loges qui débordent d'une fête
Et d'autres qui pénètrent les douleurs
Des comédiens passent, repassent, trépignent
Des gens posés sur des fauteuils sombres
Et des rideaux rouges tachés d'ombre.
Un vieux fantôme y joue un rôle indigne.
Écrit par veilleurdenuit
advienne que voudra!
Catégorie : Divers
Publié le 01/07/2013
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Commentaires
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Posté le 01/07/2013 à 12:52:07
J'aime beaucoup ton poème plein de la poussière des coulisses, même s'il s'y mêle assurément une grande douleur. | |
Marouette |
Posté le 02/07/2013 à 06:33:30
Ambiance ambiance ! Tout ça marqué de ton génie poétique si singulier | |
flipote |
Posté le 02/07/2013 à 09:55:29
merci à vous deux | |
veilleurdenuit |