La nuit vague dans un verre
La poussière en bague d'air me serre aux coudes
Je me quitte du regard du miroir
Noir et crasse d'un réverbère dehors
Mon corps prend terre par prière
Si la lune m'excuse les rentes d'ennuis
Et les écluses du sang de la vie.
Les porches en bouche dentée de murs.
Exhausse en entre autre les rêves des rats
Les familles de grains, l'atome de quelque lumière.
Où va t on quand tout se finit
A la fenêtre
Pendue.
Sous le feu, une étoile.
Écrit par veilleurdenuit
advienne que voudra!
Catégorie : Triste
Publié le 01/08/2017
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Commentaires
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Posté le 01/08/2017 à 14:08:11
Un profond spleen qui donne des frissons... | |
grêle |
Posté le 02/08/2017 à 13:20:10
Merci à toi | |
veilleurdenuit |