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Tu dors profondément dans cette terre brune
Qui fait naître au matin la fleur de l'espérance
Mais qui se fane vite en mourrant sous la lune
Et en disparaissant dans un brûlant silence.
Dans mon cœur alourdi, le ciel te fait un signe
Mais tu ne le vois pas, tes yeux ont disparu.
Il n'est pire douleur que de se voir indigne
D'un amour qui n'est plus, qui a quitté sa rue.
Je te revois penchée sur ma tête candide,
Ma tête vagabonde, aimable et enjouée,
Caressant doucement des doigts mon front sans ride.
Mais c'est déjà très loin, la partie est jouée.
Tu me souris toujours sous un arbre planté
Mais surtout ne crois pas que tout est éphémère
Car bientôt moi aussi, dans ton éternité,
Je viendrai m'endormir auprès de toi, ma mère.
Écrit par verarl
Il faut 2 ans pour apprendre à parler et toute la vie pour apprendre à se taire.
Catégorie : Amour
Publié le 22/01/2008
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Commentaires
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Posté le 22/01/2008 à 20:57:12
Touchant et joli poème. | |
Michka |
Posté le 23/01/2008 à 13:21:31
Merci. | |
verarl |