Je la sentais si douce,
Ma main la caressait
Et son parfum de rousse,
Comme l'alcool, m'enivrait.
La nuit, tel un écrin,
Cachait son beau visage,
Quand je touchais ses seins,
Elle devenait moins sage.
Lorsqu'elle disait « assez »,
Je répondais « encore »,
Son corsage délacé,
Rebandait mon ressort.
Ses mots d'amour fleuris,
Devenaient une tourmente,
Un solo de batterie,
Une invite indécente.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 14/10/2015
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de virgile au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 14/10/2015 à 13:55:23
plaisant! | |
pat |