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Des myrtilles coloraient ses joues,
Moi je n'aimais que les groseilles,
Ses jolies lèvres et même son cou
Et par-dessus tout, ses oreilles.
Je caressais son beau visage.
Dans ma tête, en voyant ses seins,
C'était le grand carambolage
Et la promesse d'un bon festin.
Comment humer ses cheveux blonds,
Tirant sur un jaune-mandarine
Et réunis en gros chignon,
Par un ruban en suédine ?
Ses yeux c'était l'apothéose,
Peuplés de regards licencieux
Et souvent elle prenait la pose,
Quand je criais « chérie je veux ».
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 20/10/2015
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Commentaires
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Posté le 20/10/2015 à 11:13:36
"Des myrtilles coloraient ses joues Moi je n'aimais que les groseilles." Mais ses oreilles ont un goût (Il semble) à nul autre pareil... Bravo. |
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scyles |
Posté le 20/10/2015 à 13:40:24
Éloquent, chouette poème d'un désir réfréné, une attente fiévreuse. Nous sommes tous passé par là n'est-ce pas ? ;) | |
Weedja |
Posté le 20/10/2015 à 15:43:41
Merci pour ta version scyles. Weedja tu as raison c'est l'éternel masculin. |
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virgile |
Posté le 20/10/2015 à 20:09:33
Joli et agréable ,,, mais attention les brunes ne comptent pas pour des prunes ,, hi hi bravo | |
MARIE L. |
Posté le 21/10/2015 à 00:23:51
Merci MARIE L. Ce sera bientôt le tour des brunes... | |
virgile |