Quand les rues sont tranquilles,
Quand le soleil est roi,
Dans le ciel, sur la ville,
Je me souviens de toi.
Je regarde les fleurs,
Brodées sur ton corsage
Et je maudis les pleurs,
Qui rident ton visage.
Ces choses jamais faites,
Mais que l'on pouvait faire,
Ces journées imparfaites,
Se sont perdues dans l'air.
Les regrets sont présents,
Ils seront là demain,
Je pense à cet instant,
Où j'ai lâché ta main.
Virgile.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 16/04/2019
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Commentaires
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Posté le 16/04/2019 à 10:38:12
J'aime vos vers, ils sont légers et légèrement dramatiques, comme une douce chanson verlainienne... Merci de partager ! | |
jacou |
Posté le 16/04/2019 à 11:31:07
Ils sont magnifiques ces vers ! Malgré ou une grâce à cette broderie dans le regret .. Bravo Virgile ! |
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Yuba |
Posté le 16/04/2019 à 16:51:35
J'aime beaucoup ce petit poème d'une grande sensibilité, il évoque tellement de choses en moi... Merci pour ce superbe moment de poésie Virgile ! | |
Alphaesia |
Posté le 16/04/2019 à 18:17:57
C'est trop beau ..... Merci :) |
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MARIE L. |
Posté le 20/04/2019 à 17:37:31
C'est ce genre de détails, les fleurs brodées sur corsage, qui ont leur importance. J'aime beaucoup votre écriture, merci | |
grêle |