L'automne a les couleurs,
De tes désirs secrets
Et le parfum des fleurs,
Fanées comme tes regrets.
J'admire, mais le sais-tu,
La peau claire de Novembre,
De tes cuisses entrevues
Et tes yeux couleur d'ambre.
Que j'aime, la blessure,
Des brûlants aiguillons,
Sur ma peau, tes griffures,
Tes ongles vermillon.
Quand le soleil est bas,
Que tu gis sur ta couche,
Quand de toi je suis las
Faut-il que je te touche ?
Parfois le vert de gris,
Sur les vieilles fontaines,
Est troublé par les cris,
De ta chaude rengaine.
Et je goûte ta liqueur,
Au parfum d'hellébore,
Quand bat si fort ton cœur,
Quand ta bouche dit encore.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 17/10/2012
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Commentaires
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Posté le 18/10/2012 à 07:35:30
Magique | |
MARIE L. |
Posté le 18/10/2012 à 16:21:24
C'est comme une séance de tatouage. | |
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