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L'été s'affole,
Chaudes sont ses nuits,
Les rues gondolent,
Les fontaines fuient.
L'air chaud transpire,
Sur les pavés,
Piétons de cire
Et roues crevées.
Là-bas c'est loin,
Fleurs fatiguées,
Poussent dans les coins,
Des murs tagués.
La peur transperce,
Toutes les ruelles,
Les chiens renversent,
Les écuelles.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 21/07/2015
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