Les feuilles ont pris ta place,
Sur le banc, en automne,
Près de lui, quand je passe,
J'entends le ciel qui tonne.
Tu ne reviendras plus,
Si loin tu es allée,
Dans un pays perdu,
A jamais oubliée.
Le temps est un intrus,
Les arbres courbent la tête,
Ma vie est devenue,
Un lendemain de fête.
Les feuilles qui frissonnent,
C'est ta voix que j'entends,
Comme la cloche qui sonne,
Sous les assauts du vent.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 17/10/2017
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Commentaires
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Posté le 17/10/2017 à 11:17:04
J'aime bien ! | |
Galerion |
Posté le 17/10/2017 à 13:51:52
triste comme la vie | |
marinette |
Posté le 17/10/2017 à 17:43:24
Très joli. Merci. |
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Iloa Mys |
Posté le 17/10/2017 à 22:11:43
Très bon, très juste, j'aime. | |
jacou |
Posté le 17/10/2017 à 23:39:24
Cela sonne bien. Super ! | |
suane |
Posté le 17/10/2017 à 23:43:25
Vous avez su rendre une atmosphère frileuse et de par la saison et de par cette absence ! texte écrit tout en nuance.....bien joli | |
Pieds-enVERS |
Posté le 18/10/2017 à 16:26:03
Vous avez planté un décor simple et évocateur, tout rempli à vos yeux du vide de son absence | |
Verdon |
Commentaires
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