Elle fuyait son chagrin,
Elancée et fragile,
Elle errait le matin,
Dans les rues de la ville.
Sur sa peau oubliée,
Elle sentait la caresse,
De la douce rosée,
Qui calmait sa détresse.
Fuir, encore partir
Et aller loin de lui,
Oublier son sourire,
Ses mensonges, son ennui.
Peu importe que le ciel,
Se remette en colère,
Dans sa bouche, son miel,
Encore, est son repère.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Triste
Publié le 16/10/2012
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Commentaires
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Posté le 16/10/2012 à 10:27:22
Bravo virgile, tout y est musicalité, rime poésie enchanteresse! | |
amnous |
Posté le 16/10/2012 à 17:55:00
Très beau ! | |
MARIE L. |
Posté le 16/10/2012 à 21:18:48
Une mélodie agréable à lire, enivrante et trop courte, alors je la lis plusieurs fois. | |
Yaara Exben |