Dans les oasis de Gourara
Tu ne le trouveras pas
Il n'a jamais été par là
A ton volant de bakélite
Tu cherches en vain où il s'abrite
Paresse-t-il sous le zénith ?
Quelques pensées philosophiques...
Tu accélères la mécanique,
Passe le turbo toi le stoïque !
A quoi penses-tu, tu sembles absent
Tu voudrais tant être fainéant
Prendre le temps bien plus souvent
Comme une peluche mais bien vivant
Bénéficier de doux moments
Faire le fainéant toi le feignant !
Obligation de vigilance
Assortie de la grande prudence,
Et puis, la peur d'une contredense...
Et pendant ce temps là, la la
Dans une forêt un koala
A quelques frères donne le la
Pas trop fort et pas trop longtemps
Il assume son rôle de fainéant
Dans l'ombre, dévêtu d'argent
L'eucalyptus devient si rare
Pour lui aussi il se fait tard
Et les Dingos jouent les bavards !
Alors tu roules encore un peu
En t'essuyant souvent les yeux
Tu t'sens peluche, mais, pas joyeux.
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c'est trop "trop"comme disent nos jeunots ça déchire,,de ta race,,,, blague dans l'coin c'est du bon , que du bon!!!!! |
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flipote |
Adorable petit koala, que tout menace ! J'ai beaucoup aimé ! Merci Zénobie ! bisous Louann |
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louann |
bel écrit Zénobie! et jolie inspiration de ta part. j'ai beaucoup aimé ce poème de koala. plaisir de te lire. Amitié |
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k7youness |
Unique tu es Zénobie, un merveilleux poème, pitié pour Dame Nature et nos amis les animaux...j'aime. Bises Ange de lumière |
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Ange de Lumière |