J aurais aimé vous dire, que ma Vie fut facile,
Cela serait mentir et vous préférez rire,
Je ne suis pas un Clown, ou un peu moins qu' avant,
Mais de votre Amour... J y pense à chaque instant.
Ma plume est fatiguée, me revoilà écrire,
Vos yeux, votre bouche votre rire...
Cette présence si aimée...
Je ne saurais mentir...
Je vous vois et vous pense, et suis las de porter,
En mon coeur seulement, tant d amour en secret,
Vous êtes cette fleur, qui ranime en Moi...
Cette présence qui cette heure....
Ne m habite qu' en regards...
Je sais vous faire rire, avec vous je renais,
Avec votre sourire, votre présence et vos rêves...
Vos rêves de Liberté que je ne peux que Comprendre...
Vouloir vous enfermer... C est enfermer le vent...
Madame, vous n savez, pas au fond ce que j pense,
Je suis sur qu' un jour, vous.me remarquerez,
Je ne suis de ces hommes qui court cent romances,
Je suis de ces patients qui rêvent vos baisers...
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amour
Publié le 08/11/2017
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Je trouve ce poème très beau et original, je me suis régalée à le lire, bravo et merci du partage :) | |
grêle |
Merci beaucoup ;-) J aie arrêté d écrire pendant longtemps Mais Il faut croire qu' il fallait que je reprenne ;-) Merci encore |
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Le troubadour |
Quel beau poème, c'est une lecture rassurante et aimante. Garder un secret si lourd est épuisant à mon sens et en faire un poème, c'est une délivrance...Alors bravo Troubadour, la flamme est en vous et elle brûle avec amour. J'ai adoré, merci. | |
suane |