Muserolle
J'avais pour habitude
D'écrire toutes mes joies
Mon étonnement de vivre
De rire et de rêver.
J'oubliais les tracas
remisais les chagrins
à plus tard, à demain.
Ma muse positive
guidait seule le chemin.
Les muses sont si belles
quand elles rient aux éclats.
Puis un bourdon mauvais
Voulut piquer ma muse
un cafard taquin
a fait fuir la belle,
et, les mots qu'elle soufflait
à ma plume joyeuse.
Mon cœur était amer
et sans mot pour le dire.
Les muses sont cruelles
qui nous quittent parfois.
Mado Août 2010
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Écrit par Mado
Debout les pieds sur terre et la tête dans les étoiles
Catégorie : Divers
Publié le 04/09/2010
|
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Commentaires
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Posté le 04/09/2010 à 20:33:02
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Très beau !!! merci à bientôt CRIS |
CRIS  |
Posté le 04/09/2010 à 21:57:32
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J'aime beaucoup les maux de cette muse... Amitiés |
| Yuba |
Posté le 05/09/2010 à 10:29:25
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belle poèsie Mado !! |
| MARIE L. |
Posté le 05/09/2010 à 15:13:58
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Merci à vous CRIS, yubanca et MARIE L. Vos gentils messages ne peuvent que soutenir mes muses. Je souhaite pour vous que les plus douces vous visitent. A bientôt. Mado |
| Mado |
Posté le 05/09/2010 à 15:53:47
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Un poème qui me laisse rêveuse... merci!!! |
EnglishHistoryFan  |
Posté le 24/09/2010 à 21:25:51
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Chère vous. Ce bourdon si mauvais, en faisant fuir votre muse, me semble opportun , pour que penaude elle revienne nous offrir si belle lecture, quoique légèrement teintée de morosité... Amicalement à vous. André |
mameralice  |
Commentaires
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