L'or boit l'aube abusant d'éblouir de clarté
L'aurore a saine horreur du jour qu'il jette ainsi
Astre à rayons de gloire éveillant dans un « Si ! »
Les bois s'oubliant noirs par les soirs abrités
La nuit avait l'ennui chassé du Temps s'il nuit
Le jour est en séjour s'avivant par ces rouges
Coloris parmi les corolles. Vertes bougent
Les tiges au maintien de prestige où loin luit
Chaque fleur embrassée des baisers d'une brise
De vents éclatant de lumière où l'arbre brise
Par place à l'assortir la plante au sein du temple
D'un parc apparaissant soudain le Paradis
Pour l'œil coulant de miel et se disant « pardi !
« Il a raisons Là-Haut, l'Amour est bien plus ample ! »
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Commentaires
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Posté le 06/03/2025 à 13:36:59
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ah! la fin est merveilleuse toujours cette belle façon d'écrire de dire d'entremêler les sons merci jacou :) |
MARIE L. ![]() |
Posté le 06/03/2025 à 22:32:59
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Merci Marie L. :) |
jacou ![]() |